Tout d'abord, je me présente : Catherine 30 ans - Mariée deux enfants - Femme (trés) active - Fumeuse depuis l'âge de 17 ans - Mari fumeur - Un paquet par jour de 17 à 25 ans - 5 cigarettes/jour en semaine, 10 à 20/jour le WE depuis cinq ans.
Tentatives d'arrêt de la cigarette : à 23 ans, j'ai arrêté 9 mois sans aucune raison (impression de ne pas être fumeuse), ai repris lors de Vacances au ski avec trois amis fumeurs, à 25 j'ai arrêté 8 mois pour ma 1ére Grossesse et ai repris car j'avais physiquement arrêté mais pas psychologiquement, 1 mois aprés l'accouchement, à 27 ans j'ai arrêté 6 mois lors de ma 2nde Grossesse. Il m'a été plus difficile d'arrêter et je savais dés l'arrêt que je reprendrais, à 29 ans j'ai arrêté 2 semaines par dégoût mais ce fut un échec total : tristesse. angoisse
Je viens de terminer la lecture du livre " la méthode simple pour en finir avec la cigarette ".
J'ai eu 30 ans hier et ai fumé ma derniére cigarette (ça me fait drôle d'écrire cela maintenant que je suis non fumeuse) vers 20h. La lecture de ce livre m'a apporté juste ce qu'il me manquait. Je ne suis plus à ma premiére tentative mais j'ai l'intime conviction (et je vous le confirmerai) que cette fois est la bonne.
Le gros avantage que présente cette méthode [
Comment arrêter de fumer] est qu'elle permet une véritable prise de conscience. On sait tous pourquoi on veut arrêter mais pas forcément pourquoi on échoue.
Je suis trés contente de voir enfin la clope sous cet angle. Et je pense sincérement que sans la lecture de ce livre, j'aurais pu "galérer" pendant des années encore, voire fumer ad-vitam.
Lors des autres tentatives d'arrêt du tabac, j'aimais dire : "Quand je serai trés vieille, je passerai mes soirées à siroter du bon whisky entre copines et à fumer". POUR LA PREMIERE FOIS, aujourd'hui je n'ai plus envie de cette vieillesse là . C'est dingue ! Je pensais avant que le plus dur lorsque l'on arrêtait, était de se dire que l'on ne fumerai plus jamais. Or j'ai l'impression que j'ai compris pourquoi j'avais ce comportement d'Esclave (je pense désormais qu'il n'y a pas d'autres termes pour désigner un fumeur), et je suis en mesure maintenant de contrôler et non pas de subir mon sevrage.
C'est tout bonnement génial ! C'est fou le pouvoir des mots Cela me laisse sans voix.
J'ai eu envie aujourd'hui, deux ou trois fois, mais j'ai vraiment minimisé ce besoin en me disant que cela passerai, que je ne souffrais pas en fin de compte. Je me suis dit aussi que c'était mes réflexes de fumeuse qui m'angoissait et rien d'autre Et qu'à la fin du sevrage complet. j'y penserai de moins en moins et de moins et moins fort.
Bon au boulot ! Merci encore, je n'ai qu'un mot : CONTINUEZ !